Bem-vindo ao Blog do Prof. Marcus Eduardo de Oliveira

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28 de novembro de 2012

Entrevista de Marcus Eduardo de Oliveira ao programa de Nacir Sales

Entrevista de Marcus Eduardo de Oliveira ao programa de Nacir Sales.


http://www.youtube.com/watch?v=ICce339kFac

Nota publicada pelo Correio de Corumbá (MS)

É PRECISO CONSTRUIR OUTRA ECONOMIA BASEADA EM UMA RACIONALIDADE AMBIENTAL, DIZ ECONOMISTA

http://www.correiodecorumba.com.br/index.php?s=artigo&id=83  

Sustentável para quem? - Amambai Notícias

Jornal Amambai Notícias reproduz nosso artigo:
Sustentável para quem? - Amambai Notícias

LIVRO - HUMANIZANDO A ECONOMIA


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28 de setembro de 2012

11 de agosto de 2012

NÃO HÁ ECONOMIA SEM SISTEMA ECOLÓGICO

Revista Missões reproduz nosso texto NÃO HÁ ECONOMIA SEM SISTEMA ECOLÓGICO.

Não há economia sem sistema ecológico, artigo de Marcus Eduardo de Oliveira

Leia nosso artigo publicado pela REVISTA ECOLÓGICA:
Não há economia sem sistema ecológico, artigo de Marcus Eduardo de Oliveira: À medida que o meio ambiente apresenta evidentes sinais de estar enfraquecido abre-se perspectiva de maior inserção dos preceitos que emolduram a Economia Ecológica.

31 de julho de 2012

Existe a possibilidade de uma crise econômica mundial em 2013, por Marcus Eduardo de Oliveira - Dourados News - Notícias de Dourados - MS.

Jornal DOURADOS NEWS, de Mato Grosso do Sul, reproduz nota a nosso respeito.
Existe a possibilidade de uma crise econômica mundial em 2013, por Marcus Eduardo de Oliveira - Dourados News - Notícias de Dourados - MS.

Não adianta prosperar de um lado se, do outro...

Jornal NOTÍCIAS DO BRASIL, de Porto Velho (RO) reproduz nosso artigo "Não Adianta Prosperar De Um Lado Se, Do Outro..."

Não adianta prosperar de um lado se, do outro... - NOTÍCIAS DO BRASIL - (69) 3222-9713

Revista Missões - SISTEMA ECONÔMICO DESUMANO

Na Revista Missões - edição de julho/2012, nosso artigo SISTEMA ECONÔMICO DESUMANO.

Possível crise econômica mundial em 2013 – Marcus Eduardo de Oliveira

Jornal de Hoje, de Natal (RN) reproduz nota a nosso respeito.
Possível crise econômica mundial em 2013 – Marcus Eduardo de Oliveira, economista e professor universitário de economia (prof.marcuseduardo@bol.com.br)

29 de junho de 2012

Falando um pouco sobre "a Economia da Natureza"

Leia no portal MERCADO ÉTICO nossa recente manifestação:
Falando um pouco sobre a: A atividade econômica tem sido extremamente agressiva desde o ato de extrair recursos, passando pelo processo produtivo e culminando na prática do consumo final quando solta resíduos, comprometendo assim a capacidade do planeta Terra em lidar com essa situação.

12 de junho de 2012

11 de junho de 2012

Un appel à la responsabilité, un appel à l’action

Rio+20: Un appel à la responsabilité, un appel à l´action

On vit des temps d’une confusion grande et d’incertitudes énormes.


D’un côté, une partie du monde est férocement affectée par les conséquences de l’état de soumission totale des gouvernements vers les marchés financiers. Des marchés prétendument anonymes qui, dans une situation de total cafouillage fruit des politiques déréglementatrices des dernières décades, se sentent la force de faire tomber des gouvernements élus démocratiquement et les remplacer par d’autres « technocratiques ».

D’un autre côté, on voit bien que la nature spéculative d’une grande partie de ces marchés s’acharne sur les matières premières, ci-inclus les aliments, ce qui pousse plus de millions de personnes dans la faim et la malnutrition. Ce fait, ajouté à l’inaccomplissement chronique des accords internationaux en relation à la coopération pour le développement, est aggravé par la crise économique et financière actuelle.

Parallèlement, le monde est immergé dans une autre crise qui menace sa propre survie. Les défis que le changement climatique et la dégradation environnementale posent, aggravés par des modèles de production et consommation insoutenables, augmentent d’une façon alarmante, sans que les structures actuelles de gouvernance mondiale soient capables de les faire face, comme les échecs répétés des dernières réunions de la COP1montrent.

C’est dans ce contexte que du 20 au 22 juin se tiendra à Rio de Janeiro la Conférence des Nations Unies sur le développement durable, également dénommée Rio+20, vingt ans après la célébration du Sommet planète Terre dans la mentionnée ville. Il s’agit d’un moment clé dans l’agenda internationale, auquel nous tous –évidemment aussi, les citadins– devons prêter de l’attention très spéciale.

Il y a différents sujets qui font partie de l’agenda de cette rencontre et qui sont fruit d’intenses négociations; mais depuis le Forum Mondial de Réseaux de la Société Civile – UBUNTU on veut souligner les suivants, et réclamer:

a) Quant aux deux thèmes principaux, une économie verte et une structure institutionnelle:

• Le concept d’économie verte doit faire référence, nécessairement, à un modèle de développement durable qui intègre une vision holistique, avec une base profondément sociale et du respect environnemental. Il n’est pas acceptable, et on refusera, toute promotion d’un modèle qui, en usant de subterfuges, cache un simple pari pour une majeure marchandisation de la nature.

• La réforme de la structure institutionnelle est évidente et plus urgente que jamais. Au-delà des détails organisationnels de cette nouvelle structure –qui sont importants aussi–, ce qui est vraiment remarquable c’est assurer que la nouvelle structure ait les ressources, l’indépendance et le pouvoir réel nécessaires pour garantir l’application et le respect des accords environnementaux, y compris la capacité d’imposer des sanctions. Et cela doit être en parallèle à la promotion d’un système de multilatéralisme démocratique, la seule option possible si on croit véritablement dans le processus vers un modèle de vraie gouvernance mondiale démocratique, participative et juste.

b) Quant aux autres sujets du Sommet:

• Un des éléments clés est le progrès dans tout ce qui fait référence au concept de justice climatique, sur la base du principe de “responsabilités communes mais différenciées”. Dans ce sens-là, la question du financement est aussi essentielle, ce qui met en évidence –encore une fois– le besoin de faire des progrès quant aux outils innovants de financement pour le développement, et spécialement la proposition d’une Taxe sur les Transactions Financières.

• Dans le cadre d’une proposition intégrale du concept de développement humain durable, il est aussi impérieux l’établissement d’un cadre juridique qui évite l’spéculation qui concerne les prix de la nourriture.

• De même, le débat sur des nouvelles formules pour mesurer le développement et la durabilité doivent nous aider à dépasser –dans la ligne de ce que l’Index de Développement Humain pose– l’actuel modèle basé sur le PIB, qui laisse de côté des éléments basiques comme l’équité, la durabilité ou le respect aux Droits Humains. Dans ce sens, la proposition des objectifs du développement durable peut être positive à condition qu’elle aille dans la direction mentionnée et soit complémentaire aux Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), avec lesquels, en aucun cas, on doit se mettre en concurrence.

• Il est aussi extraordinairement important que le Sommet renouvelle et relance des accords si fondamentaux comme Agenda 21, qui inclut des sujets spécialement significatifs comme les engagements de réduction des émissions de gaz à effet serre, ou les conventions sur le changement climatique, la diversité biologique ou la désertification.

C’est pourquoi, nous soussignés faisons appel à la mobilisation de tous les acteurs impliqués, mais en particulier de la citoyenneté et de la société civile –à tous les niveaux: local, régional et mondial– pour atteindre que le nouveau “Sommet de la Terre” est à l’hauteur des circonstances, si graves, qu’on vit.

Le monde ne peut se permettre un autre fiasco à Rio. Il est temps de responsabilité. Et il est temps, surtout, d’action.



31 de maio de 2012

A FORÇA ECONÔMICA DO INTERIOR PAULISTA

Revista Missões publica em sua edição de maio/12 nosso artigo refletindo sobre A FORÇA ECONÔMICA DO INTERIOR PAULISTA.

29 de maio de 2012

22 de maio de 2012

Revista Missões - Por uma Economia mais justa e menos desigual

Revista Missões, edição de Maio/2012 publica nossa manifestação sobre a necessidade de se praticar uma economia mais justa e menos desigual.

21 de maio de 2012

Preservação ambiental no currículo escolar - Opinião e Notícia

Preservação ambiental no currículo escolar - Opinião e Notícia Nosso artigo sobre a necessidade de inserção de assuntos ambientais no currículo escolar. O "Opinião e Notícia" reproduziu nossa manifestação. Confiram.

17 de maio de 2012

Chiara Lubich e a Economia de Comunhão (UNISINOS)

Chiara Lubich e a Economia de Comunhão nosso artigo em homenagem a ativista social italiana Chiara Lubich foi publicado pelo Instituto Humanitas Unisinos, de São Leopoldo (RS).

2 de maio de 2012

SOCIOECONOMIC INEQUALITIES - by Marcus Eduardo de Oliveira

SOCIOECONOMIC INEQUALITIES

by Marcus Eduardo de Oliveira (*)


The news on socioeconomic inequalities on a global scale, there is no room for doubt: the world is becoming more unequal and less fraternal. In fact, it seems the world is upside down - The world turned upside down, as the letter of Coldplay, and it was also entitled in the latest report on inequality published by the The Economist, in the April last edition. The figures corroborate this sad scenario that deserve consideration: one in two people live on less than two dollars a day, one in three have no access to electricity, one in five have no access to drinking water, one in six is illiterate.

One in every seven adults and one child in three suffers from malnutrition. Every five seconds a child dies of hunger in the world, although there is fertile land for growing food. Just as an example, planting destined to produce food for livestock in the United States is 64% of the amount of their own lands, while the production of fruit and food takes up only 2%. In summary, it appears that one person in every seven is suffering from hunger in the world that reproduces this paradigm in the U.S.

While the consumption of food grows for a part of the world population, another part is seen completely jettisoned from this feast: 20% of the population - or one in five people - is excluded from the growth in consumption. This affects the continuity of life: more than 300 million people worldwide have a life expectancy below 60 years, in part by poor diet and because of diseases resulting from poor diet. Thirty-five percent of the world population does not have energy and sufficient proteins in their diet. In the world there are 2 billion people with anemia, including 10 million who live in countries of advanced capitalism.

However, while hunger and its consequences victimize a considerable proportion of the population, on the other side, the opulence of that story gives a special coloring to some "privileged." Note that only four Americans - Bill Gates, Paul Allen, Warren Buffet and Larry Ellyson - possessed a few years ago a fortune equivalent to the GDP of 42 of the poorest nations, concentrated in their hands, countries with a total population of over 600 million empty stomachs and starving mouths.

The global inequality shows that 80% of global wealth is in the hands of 15% of the "privileged." From this comes the sumptuous consumption, conspicuous in the parlance of economists. Example? The annual consumption of cigarettes, just in Europe is around 50 billion dollars. For the various alcoholic beverages, also in Europe, spending reached 105 billion dollars a year. In the U.S. alone, the annual expenditure on cosmetics reached $ 8 billion. Drug consumption in the world rotates on "optimistic" calculations, the importance to the economy of 400 billion dollars each year.

According to the International Institute for Strategic Studies (IISS), the money that the world (especially the rich countries, highlighting the country run by Barack Obama) designates to military spending for eleven days would feed and heal all the sick and starving children on the planet. Eleven days are hardly sufficient for the world to know the face of brotherhood. For the aggressors, those who command this process of severe inequality, are left with 354 days for the "noble" profession of killing.

Specialists in the subject believe that 200 million dollars (less than twenty times what is spent on ice cream a year in Europe alone) or what the armed forces spend in only three hours of "good work" decimating the innocent, could wipe out (to use a term common to the countries of warfare) diseases such as diphtheria, pertussis, tetanus, measles and polio, which together kill 4 million children per year.

For these and other reasons, the world is becoming more unequal, more unjust and savage. How long until resistance arises against such aggression against the greatest of all principles: life?


(*) Marcus Eduardo de Oliveira is an economist and Professor of Economics FAC-FITO and UNIFIEO in Sao Paulo, Brazil. Specialist in International Politics by (EPHF) and master's (USP). Columnist of the sites, "The Economist" and "Portal EcoDebate. He also contributes to Zwela News Agency (Angola). Blog - http://blogdoprofmarcuseduardo.blogspot.com - prof.marcuseduardo@bol.com.br

17 de abril de 2012

12 de abril de 2012

22 de março de 2012

6 de março de 2012

A economia não pode desconsiderar os serviços prestados pela natureza

Volmir Meneguzzo, presidente do CORECON (MT) e eu escrevemos juntos sobre economia ambiental. O Portal FAZENDO MEDIA, do RJ, reproduziu nosso artigo. Confiram:

A economia não pode desconsiderar os serviços prestados pela natureza